Endocrinologie pédiatrique

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    Posté le 05/10/2020 Par Le Pr Agnès LINGLART

    LE CAS

    Un patient âgé de 80 ans présente un syndrome médullaire d’installation progressive sur environ une semaine avec paraparésie et troubles sphinctériens. Il n’y a pas d’antécédent neurologique particulier ou d’épisode infectieux récent. L’EDSS au nadir est évalué à 8. Une IRM médullaire est réalisée.

     

    Les données présentées sont susceptibles de ne pas être validées par les autorités de santé françaises et ne doivent donc pas être mises en pratique, si tel est le cas.

    Devant un syndrome médullaire aigu ou subaigu, l’IRM médullaire permet avant tout d’éliminer une cause compressive. Ici, aucun processus compressif n’est visible. Le tableau clinique est d’installation progressive sur une semaine et la sémiologie en IRM n’évoque pas une ischémie médullaire.

     

    Ischémie médullaire typique en IRM :

    hypersignal T2 médullaire ;

    central, plutôt antérieur ; aspect en “yeux de hibou” ;

    hypersignal en diffusion ;

    infarctus de corps vertébral en regard : hypersignal T2 géographique.

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